Des vies oubliées: les personnes âgées trans vivant avec une démence à l’intersection du cisgenrisme, du capacitisme/cogniticisme et de l’âgisme

Auteurs-es

  • Alexandre Baril School of Social Work, University of Ottawa
  • Marjorie Silverman School of Social Work, University of Ottawa

DOI :

https://doi.org/10.15353/cjds.v9i4.676

Résumé

Il y a quelques années, l’histoire d’Hélène Tremblay-Lavoie, une Franco-Canadienne vivant avec la maladie d’Alzheimer qui menait sa vie exclusivement en anglais depuis 30 ans, avait fait la manchette après qu’elle soit « retournée vers le français, sa langue maternelle » (Waldie, 2018), ce qui lui rendait l’accès aux soins de santé en anglais difficile. Des changements de la mémoire et du langage sont observés chez les personnes vivant avec une démence (McMurtray, Saito et Nakamoto, 2009), ce qui soulève des questions sur la façon d’intervenir auprès des personnes qui, temporairement ou de façon permanente, « vivent dans le passé » en raison d’une démence.

Bibliographies de l'auteur-e

Alexandre Baril, School of Social Work, University of Ottawa

School of Social Work, University of Ottawa

Marjorie Silverman, School of Social Work, University of Ottawa

School of Social Work, University of Ottawa

Publié-e

2020-11-10

Comment citer

Baril, A., & Silverman, M. (2020). Des vies oubliées: les personnes âgées trans vivant avec une démence à l’intersection du cisgenrisme, du capacitisme/cogniticisme et de l’âgisme. Revue Canadienne d’études Sur Le Handicap, 9(4), 180–193. https://doi.org/10.15353/cjds.v9i4.676

Numéro

Rubrique

Translation